La nuit...
Les arbres parlent la nuit
Tous les hiboux les écoutent
Ils renversent sur leurs plumes
L'encre sombre des poètes,
Et dessinent de leurs ailes
Aux couleurs charbonneuses,
Des rêves noirs dans le ciel.
En français dans le texte
Voyageuse immobile, j'aimerais vivre un conte d'été Rohmerien, et me perdre dans ces égarements passagers - mais denses - d'une introspection poétique surannée.
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